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Auteur/autrice : Samuel Huaux
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Assemblée générale du 5 Décembre 2020
Cette année nous avons opté pour un scrutin par voie électronique afin de permettre au plus grand nombre de voter.
Vous avez donc trois votes à faire, vous pouvez également envoyer votre vote par courrier ou email.
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Canal de l’Ourcq le dimanche 4 octobre
Depuis une semaine, Dame Météo annonçait un temps exécrable pour notre dernière sortie de l’année. Mais ça, c’était sans compter sur notre Road Captain du jour Eric, ami des Dieux de l’Olympe, qui se devait de conjurer le sort en mémoire de nos trois dernières années.
Le Canal de l’Ourcq ! Fil « conducteur » de la journée.
Canal situé au Nord Est du bassin parisien, commençant à Mareuil sur l’Ourcq pour rejoindre le bassin de La Villette à Paris, la rivière de l’Ourcq est canalisée et navigable depuis le « port aux Perches » sur la commune de Silly la Poterie.
Qui connait ?
Eh bien… Les 22 vaillants membres du PWC dont quelques nouveaux que nous saluons, le sabre aux dents et la grenade à la ceinture, qui s’aventurent dès 7h30 dans la coulée du road Captain et de la Marschalle pour s’enrichir de la réponse. Conquis par l’enthousiasme de tous, les routes, avenues et ronds point défilent à cadence soutenue, toujours assurés par notre équipe de safeties déterminés à ne pas s’en laisser compter et entourés de notre couple de tireurs délites à souvenirs, toujours aussi fougueux pour écraser le ‘flash’.
Chargez…. !!!!

Eole, Dieu du vent, est de la partie, chassant la pluie et asséchant nos routes quelques peu capricieuses au sortir des ronds-points… Certains s’en souviendront mais heureusement sans conséquence, si ce n’est une maitrise plus affirmée de leur machine.
A l’heure de notre pause-café, les mains tremblent, tellement le contraste de température est saisissant. Quelques-uns, ne s’étant pas rapprochés de notre Gilot Pétré national depuis plusieurs semaines, avaient conservé l’accoutrement du bord de plage mais… il aura fallu faire très vite le fond des sacoches pour en extraire quelques épaisseurs qui nous auront tous permis de reprendre notre périple dans de meilleurs conditions.

Une fois franchie la vallée de la nonette, bref signe de la main ou balancement de la jambe pour saluer Henri d’Orléans encore surpris par notre cavalerie, nous laissons Chantilly derrière nous, direction les plaines de l’Ourcq. Les endroits Fée Eric se succèdent et nous conduisent sur…. Le canal de l’Ourcq !. Notre Captain nous a préparé pour que l’embarquement s’effectue tranquillement mais, c’était sans compter sur le gabarit de nos destriers…. évidemment trop nombreux pour s’aventurer sur une probable barquette que nous attendons toujours.
Sans désarmer, et toujours enthousiastes, à la promesse d’un aubergiste compréhensif, nous reprenons notre chemin pour nous retrouver une heure plus tard, rangés respectueusement devant l’auberge …. sur le territoire de Meaux.

Après agapes agréables et beuverie limitée pour cause de maîtrise de nos chevaux sur un terrain militaire inconnu, nous nous dirigeons vers le musée de la grande guerre du pays de Meaux.
Soudainement, ébahis par le lieu dominé par son architecture et sa magnifique statue qui aurait fait ‘saliver’ notre directeur, c’est dans un calme assourdissant que nous pénétrons en ce lieu chargé d’histoires pour y découvrir les traces d’un passé sanglant encore si proche de nous.
Deux heures d’histoires avec des hôtes passionnés, et nous retournons vers le coin des écuries, juste à l’étage inférieur, où sont logés nos fiers destriers.

C’est dans un brouhaha impressionnant, entre les murs de ce musée, que notre convoi se reforme pour s’assurer d’un retour dans les meilleures conditions, sous un soleil radieux. Le Captain a le ‘smile’, et fier comme ‘dartaban’ il reprend la tête de ses troupes, en optant pour des chemins plus rapides qui nous permettent de nous retrouver une heure plus tard, stationnés à notre point de séparation.
Pour dire la puissance du geste, signe de Zeus, une légère pluie nous aura accueilli juste à l’arrivée.


Quelques minutes plus tard, c’est sur les réseaux que se traduisait la satisfaction de tous et la découverte de photos souvenirs qui cimentent plus encore notre PWC. Merci Philotès 😊

Les photos de Cristina Photos
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Week-end en Touraine – 29 et 30 août 2020
C’est désormais un rituel, le week-end de fin août, placé judicieusement entre le retour des congés et la reprise de nos activités, permet de nous retrouver après près de deux mois sans contact… et nous savons combien cette année a été compliquée pour les contacts.
C’est donc les 29 et 30 Août qu’Eric G. nous a donné rendez-vous pour découvrir au Fil de l’eau la belle région qu’est la Touraine. « Au fil de l’eau » certes mais pas sur un long fleuve tranquille, 36 inscrits qui se finaliseront par 33 participants et seulement 28 au départ.
Une crevaison et des maux d’enfant auront raison de 5 participants qui nous rejoindrons plus tard dans la journée et concernant les 3 autres, ils vont bien …
Un week-end de pré-rentrée commence par une remise en jambe avec un rendez-vous matinal fixé à 7h00, 20 motos rutilantes prêtent à en découdre avec les quelques 560 km qui nous attendent.
Bizarrement, les sujets de conversations ne tournent pas autours des vacances ou du dernier truc à la mode C19 mais sur la météo annoncée, il est vrai qu’après deux semaines de canicule ce week-end est placé sous le signe de la pluie sur la totalité du territoire.
Combi pas combi, voilà la troupe lancée sur nos belle routes de campagne en direction de Loch notre destination finale mais n’allons pas trop vite.


Après presque 2h de route, petit arrêt pour le bien être de nos montures et pour nous réchauffer un peu (toujours pas de pluie). Nous repartons en direction de Blois et apercevons sur notre chemin un petit édifice au milieu d’un domaine Royal et décidons d’immortaliser l’instant avec de très belles images, Chambord vous dites … c’est pas mal !

Nous traverserons de nouveau la Loire afin d’y découvrir les abords et monuments que la ville de Blois nous laisse entrevoir émerveillant nos regards.
Après la Loire, direction Le Cher pour une petite halte à Montrichard et son magnifique donjon mais également le lieu de tournage du film « Arrête moi si tu peux » de Spielberg avec Leonardo Di Caprio et Tom Hanks et bien d’autres anecdotes contées par notre GO Eric.G

C’est donc en longeant Le cher que nous nous rendons au « BISTROT’ QUAI » afin de nous rassasier .
La situation sanitaire contraint le restaurateur de s’adapter et il l’a fait plutôt bien, pas de plat chaud mais une très grande variété de terrines en tout genre accompagnées de Chips’ artisanales, ce qui nous permet de partager nos avis et gouts tout en échangeant nos denrées.

Toujours pas de pluie, l’ambiance est conviviale et les conversations sont désormais tournées sur l’activité digestive qui nous attend non plus au fil de l’eau mais « SUR » l’eau à bord de magnifiques canoës…
Il faudra d’ailleurs plusieurs appels d’Eric pour que l’ensemble se dirige vers l’embarquement, certains même sont surpris de cette activité, (tout le monde ne lis pas les flyers apparemment).
Aller tout le monde se lève quand un bruit familier des Harley nous annonce l’arrivée de Lydie, Valou, Didier et Sam qui a pu faire réparer son pneu dans la matinée. Pas le temps ni trop l’envie de nous accompagner en canoë, ils iront à leur tour se rassasier.

Après le brief sécurité et l’apprentissage théorique du passage à gai des écluses, nous voilà enfin embarqués non pas sur les canoës mais dans des camionnettes qui nous emmènent au point de départ, situé quelques kilomètres de là, à Montrichard le retour !
La mise à l’eau des canoës nous en dit long sur les passages à venir des écluses, un peu plus de 10 kilomètres de « descente » sur Le Cher qui n’a visiblement pas plus de courant qu’un lac.
Les plus aguerris filent sur les flots pendant que d’autres découvrent l’importance du placement de l’équipage et la technique du rond point.

C’est après une première étape de 3 kilomètre que prend fin la partie bucolique de la promenade, en effet le passage de la première écluse en laissera 2 sur le quai, pendant que certains sont sans doute arrivés à la seconde écluse, d’autres assurent la sortie et la remise à l’eau des embarcations des derniers navigateurs en herbe.
Les bords du Cher sont magnifiques sous les rayons de soleil qui nous réchauffent et nous motivent, Le Moulin Fort nous annonce l’arrivée à la seconde écluse, qui heureusement nous est ouverte.

Petit moment de réconfort et ou de moqueries habituelles et distribution de paniers.
Est-ce la surprise annoncée dans le flyer ???
A priori oui …C’est en effet aux abords du château de Chenonceau que le convoi s’amarre, non sans difficulté, pour un apéro surprise en ces lieux magnifiques. Un moment bien sympathique et revivifiant pour finir les 2 km du parcours en passant sous les majestueuses arches du château.
Arrivée sur le quai, surprise ! Encore ! Et oui alors qu’il manque du monde à l’appel, c’est Hélène qui nous a rejoins en voiture pour finir le week-end avec nous.
Quelques étirements et nous voilà remontés sur nos motos pour reprendre la route vers l’hôtel à 30 km de là.
Enfin presque tous, car Eric B. est tellement heureux de sa nouvelle acquisition qu’il préfère se coucher dans l’herbe avec elle.
Heureusement sans aucun mal ni pour lui ni pour elle ; et avant que Dominique ne le rejoigne sur la selle cette fois …Ouf !

Arrivée un peu tardive à l’Hôtel nous y retrouvons les retardataires du matin qui ont cette fois pris de l’avance pour profiter de la piscine et du Bar…
Perception des chambres, douche et rendez-vous est donné pour un court apéro afin de pouvoir retrouver notre salle de restauration pour y passer une bonne soirée de partage et de rigolade.
La journée fut longue et éreintante et la fatigue écourte un peu la seconde partie habituelle de la soirée, quelques uns se retrouvent néanmoins autour d’un verre afin de clôturer en joie cette première journée.
Mais qui voilà ?
Cricri, Pat et Val font également escale dans cet hôtel pendant leur road-trip, petits échanges amicaux et dodo pour tout le monde.

Réveil aux aurores pour un bon petit déjeuner, les traits sont tirés mais les sourires sont beaucoup plus détendus que les trapèzes et les deltoïdes…
Malheureusement thierry T. ne se sentant pas au mieux de sa forme, il préfère quitter le groupe pour rentrer directement.
Le reste de la troupe est prête, direction les Grottes Pétrifiantes de Savonnières-Villandry situées à une centaine de kilomètres de belles petites routes et de merveilleux point de vues.

Petit arrêt à Chinon non loin de la forteresse Royale, au bord de la Vienne, puis un arrêt forcé pour s’équiper car la pluie annoncée est « enfin » arrivée, devant le Château d’Ussé qui inspira le conte de la Belle aux Bois Dormant se trouvant cette fois au bord de l’Indre.


C’est finalement au bord du Cher un peu mouillées que nous allons découvrir les grottes pétrifiantes, non loin du château de Villandry.
Ces grottes exploitées à partir du moyen âge pour l’extraction du tuffeau, pierre que l’on retrouve sur les plus élégants châteaux de la Loire, ont ensuite été inondées laissant l’eau faire son travail d’érosion pour laisser apparaitre ses majestueuses draperies, stalactites et autres stalagmites.
C’est la densité importante en carbonate de calcium de l’eau, qui s’écoule constamment du sol surplombant ses grottes, qui permet la pétrification des objets y étant arrosés ou plongés.
Quel surprise d’y découvrir une collection d’animaux préhistoriques et encore plus d’accéder à une ancienne salle de restaurant dont seul le bar est resté ouvert et ou nous avons pu déguster un vin de pays.

A la sortie de ces grottes, deux bonnes nouvelles, il ne pleut plus et Thierry T. est arrivé a bon port (sous la flotte tout du long lui).
Il est temps pour nous de reprendre le chemin du retour et au détour de Tours de profiter d’une brève pause déjeuner.
Un retour autoroute qui ne fera pas mentir la météo, nous avons pris une bonne rincée aux abords de Rouen malmenant Gaby qui après une perte d’adhérence et de confiance a repris du poil de la bête pour rejoindre Muriel qui elle avait raté la station essence pour son Sports’…
Comme d’habitude, tout est rentré dans l’ordre et sans trop d’encombre finalement pour un gros week-end de retour.
Voilà un bon week-end de retrouvailles distanciées qui met la pèche pour les événements à venir.
Merci Eric G. pour cette belle organisation et à tous les participants pour leur bonne humeur.

Toutes les photos de Cristina photos
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Mise à jour du Règlement intérieur
Le Conseil d’administration du Paris West Chapter a adopté lors de sa réunion du 5 septembre 2020 une mise à jour du Règlement intérieur.
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Entre le Vexin français et le Vexin normand dimanche 20 septembre 2020
Rendez-vous à 7H30 à la station de Chambourcy pour une belle journée qui s’annonce à travers les 2 Vexins .

Nous arrivons tous à l’heure plus ou moins bien réveillés pour certains… sur nos montures rutilantes, bien heureux de se retrouver ! Nous serons 23 motos et 33 participants et accueillons avec plaisir notre nouveau couple de bikers Pascale et Jean-Noël, ainsi que la participation de Lolo et Sylvère.
Après le débrief de Patrick qui sera notre road capitaine et Didier D notre activity officer, nous allons prendre le départ comme prévu à 8H00. Patrick nous rappelle les signes de sécurité et même certains gestes que l’on ne connaissait pas J !
Notre marshall sera Nicole, nos safetys : Sancho, Eric G, Patrice, Eric M, Vévé et La Miche et notre serre-file Stéphane.
Nous partons sous un ciel gris mais qui va se découvrir au fil des kilomètres et prenons la direction de l’Oise en passant par le Val-d’Oise, nous roulons sur de belles petites routes sinueuses à travers le parc régional du Vexin français. Puis direction l’Eure et le Vexin Normand, là nous prenons un grand bol d’air frais mélangé à des odeurs de bois mouillé en traversant la forêt.

Nous passons par Loconville, lieu du mariage de notre rocker national, avant d’arriver à Gisors où nous prendrons une bonne pause café-croissant au Jean Bart sur la place du marché. Nos motos sont admirées et nous suscitons de la bonne humeur !
Après cette pause sympathique, coup de sifflet de notre Président, c’est l’heure de remonter en selle !
Via Etrépagny, Les Andelys, nous longeons d’agréables bords de Seine direction Vernon puis bifurquons pour découvrir le magnifique moulin de Fourges dans son cadre bucolique .

Nous arrivons ainsi à Tourny pour notre déjeuner au « Lion d’Or », très bon accueil et repas copieux, nous profitons de ce moment convivial entre discussions et plaisanteries qui nous sont chères…
Fin du repas, et surprise ! On part faire un tour d’auto-tamponneuses…

Chacun s’installe donc seul ou en couple et c’est parti … Les autos se percutent à tout-va, on se défoule et on « s’éclate » entre cris et éclats de rire, merci Didier pour cette entracte qui nous a permis de retrouver la joie et l’insouciance de nos 15 ans !
Nous reprenons notre ride direction La Roche-Guyon, une fois arrivés nous nous garons et enlevons plusieurs couches de vêtements, il fait vraiment chaud.
Programme : temps libre avec ou sans visite du château.

Visite du château, ses salons avec des toiles représentant Rouen Dieppe et Le Havre à cette époque, des tapisseries, ses chapelles où les filles ont « prié » (pour la photo) ; Nous montons par un escalier taillé dans la pierre, toujours plus haut jusqu’au pigeonnier troglodyte qui domine la vallée de la Seine, vue magnifique. Ce pigeonnier comporte 1500 niches taillées dans la masse, dixit Didier : « les boîtes postales d’antan » !
Nous descendons ensuite vers les casemates, caves taillées dans la falaise, lieu de stockage durant la guerre en 1944, là, nous avons Lydie qui nous fait une petite crise de panique, elle cherchait le jour partout…mais elle a vaincu sa peur, bravo !
Nous terminons notre visite par les boves où se trouve la maquette d’une machine à remonter le temps avant de sortir par la Cour d’honneur, jolie visite.
Nous nous empressons d’aller se désaltérer, nous découvrons ensuite un convoi historique de l’armée américaine qui traverse la ville, restitution fidèle des véhicules et uniformes de la guerre 39-45, des passionnés, comme nous. Nous rencontrons également une connaissance du stage de sécurité, un gendarme de Pontoise qui est venu nous saluer et nous a permis de repartir en toute sécurité.

Dernière ligne droite en passant par la route des crêtes jusque la station d’Epône, notre dernier arrêt où les petits réservoirs vont ainsi faire leur plein et où nous allons nous séparer chaleureusement.
Merci à notre GO Didier qui a organisé cette belle journée réussie ainsi qu’à tous pour votre participation toujours dans la bonne humeur !
Le lien vers les photos de la miche : Photos
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Les Mugs sont de nouveau en stock

Vous en rêviez ?
C’est fait, les Mugs du PWC sont de nouveau en stock. Une série de 20 sur du noir et une série de 20 plus clair à venir récupérer au Chapter.
Pour commander c’est ici : https://www.pariswestchapter.fr/produit/mug-pwc/
Bonne journée à tous -
Raid Bulles XVII
Le chapter Reims Champagne Chapter a organisé du 21 au 23 août 2020 son 17ème interchapter , le fameux Raid Bulles

Un interchapter est un événement organisé par un chapter ouvert aux membres des autres chapters.

Participez à un interchapter c’est l’occasion de retrouver des anciens du Paris West Chapter


Retrouvez les photos de Thierry B. : photos
Retrouvez les photos du Reims Champagne Chapter : photos

