Catégorie : Reportages – 2019

  • Week end en Vendée du 30 mai au 2 juin

    C’est avec plaisir que je prends ma plume (enfin, mon clavier) pour vous narrer ce beau week-end en Vendée, mais avec aussi un peu de tristesse car notre éditrice préférée (et unique !), notre Christèle, s’est blessée le dernier soir et a un bras immobilisé. Nous lui souhaitons là un prompt rétablissement !

    C’est donc moi, votre fidèle G.O., qui vais essayer de vous relater tout ce qui s’est passé pendant ces 4 jours..

    Alors, commençons donc par ce jeudi 30 Mai, jour du départ. Rendez-vous était donné à 7h à Chambourcy, les bikers sont là, tous très contents à l’idée de ce petit séjour vendéen. 37 participants, 23 motos et 1 trike. La météo n’est pas très belle, mais elle est très prometteuse pour les jours à venir (et elle a tenu ses promesses, et même au-delà !!!)

    Une fois les consignes pour la route données, le convoi s’ébranle (je vois déjà le sourire de notre Patrick Sex-officer en lisant ce mot 😊), Alain en road captain, les safeties : Eric M, Eric G, Hervé, Thierry T, Thierry S, et Patrick P, la marshal (moi-même) et notre serre-file Stéphane. La route se fait sans embûche jusqu’au restaurant du déjeuner, le Moulin Moine près de Jallais du côté de Cholet. Une grande table en terrasse au bord de l’eau nous attend et le soleil commence à apparaître, tout va bien ! Un bon repas de poêlées de poisson ou de poulet nous est servi, suivi d’une assiette de gourmandises faites maison, nous voilà requinqués et prêts à reprendre la route vers notre hôtel à L’Aiguillon s/mer.  Pas d’ennui mécanique sur la route, mais une sacoche qui s’est décroché sur la moto de notre Didier L (le même qui avait perdu puis retrouvé ses 2 cartes bleues à Bordeaux 😊 !).. et une sacoche à faire repeindre, une !!

    Nous arrivons à l’hôtel vers 17h00, Nathalie et Ludo (les gérants) nous accueillent chaleureusement, ravis de voir nos belles machines. Nous occupons tout l’hôtel, il y a une belle et grande piscine (qui donne envie… mais elle est à 18 !), nous filons dans nos chambres nous détendre un peu, prendre une bonne douche, UN seul courageux va se baigner : Gilbert ! On se retrouve sur la terrasse pour se désaltérer, on se détend, ça fait du bien ! Les 10 amis du Chapter de Bordeaux qui avaient souhaité nous rejoindre pour le week-end arrivent et l’apéro commence, commence, et commence encore ! Bon, après cet apéro nous passons à table. Ludo, maître restaurateur, nous a concocté de bons plats, précédés par un beau buffet d’entrées et suivi par un large choix de desserts. Et ce sera ainsi chaque soir ! Bon, il est tard, il faut aller dormir car demain on a une grosse journée !

    Vendredi 31 Mai : au programme cette journée : on va rejoindre le Chapter de la Rochelle qui nous a gentiment proposer une balade dans leur belle région. Nous sommes 37 du PWC plus 10 Bordelais et 33 Rochelais, 53 motos au total. Nous les retrouvons à la concession de La Rochelle où certain(e)s font un peu de shopping avant de partir pour notre run. Nous formons 2 groupes. Nous roulons le long de la côte jusqu’à Fouras (en face du Fort Boyard, on sait maintenant pourquoi le Père Fouras s’appelle ainsi ! Tout du moins moi je ne le savais pas !). La route nous emmène jusqu’aux pieds du pont qui mène à l’Ile d’Oléron. Nous déjeunons là avant d’aller faire un tour sur l’île. Et c’est là que les ennuis mécaniques ont commencé : chez nous, Thierry B a des problèmes de batterie, mais heureusement notre ami Bruno de Bordeaux a un booster et lui permet de redémarrer, on lui changera sa batterie une fois rentrés à la concession en fin de journée. Et, plus grave, Dominique de Bordeaux a serré son moteur, la moto est immobilisée à Boyardville où nous nous étions arrêtés pour une petite glace et boisson fraîche. Alors que certains essaient de joindre l’assistance ou un dépanneur nous lançons un petit « madison » auquel se joignent des passants ! Un vrai flashmob avec spectateurs et applaudissements ! Quel succès ! Moins de succès par contre pour les tractations avec les dépanneurs car aucun n’est prêt à venir, un vendredi de l’Ascension, sur l’Ile d’Oléron, chercher la moto en panne ! A noter : ne jamais tomber en panne sur l’Ile d’Oléron, et encore moins un jour de pont ! Le pauvre Dominique retournera à Bordeaux avec la moto de sa femme pour chercher son fourgon et il dépannera sa moto lui-même le lendemain ! Fin du week-end pour eux 2, nous en sommes désolés ! Pas d’autre ennui à déplorer, nous rentrons à la concession où nous quitterons non sans les remercier, nos amis Rochelais pour cette belle journée !

    Retour à l’hôtel vers 19h45, et après avoir eu bien chaud, de nouveaux courageux vont profiter de la piscine : Gilbert à nouveau, Christèle, Eric L et Thierry B. Pour les autres ce sera la douche et voilà tout le monde bien rafraîchi se retrouve pour l’apéro (encore !?). C’est la tournée du Chapter, et puis d’autres tournées sont offertes, bref encore un apéro qui s’éternise un peu ! Les moules frites sont servies, Ludo nous a prévu au moins 1 litre de moules par personne et de bonnes frites maison (décidément, ce n’est pas ce week-end que nous ferons régime 😊 !). Après le dîner, certains irréductibles iront au bar à nouveau. Eric G révèle un vrai talent d’humoriste en imitant un vendeur de la Foire de Paris (je ne pourrai pas vous le raconter en détails, j’étais au lit… moi !).

    Samedi 1er Juin : encore une journée bien remplie en perspective : nous commencerons par un tour de barque sur la Venise Verte du Marais Poitevin. Nous embarquons depuis l’Abbaye de Maillezais. C’est beau, c’est calme et la balade d’une heure sur l’eau nous détend. Les jeunes bateliers nous expliquent les techniques de pêche à l’anguille, nous parlent de la flore (surtout des arbres : des frênes qui permettent grâce à leurs racines, de maintenir les berges en bon état ; on a vu aussi un très vieux baobab), la faune n’est pas très nombreuse. Et, le clou de la balade, nous avons vu le feu sur l’eau : après avoir remué le fond de l’eau, le batelier a mis le feu à la surface de l’eau, grâce au méthane présent au fond de l’eau de par la décomposition des végétaux.

    Nous retournons aux motos après ce moment de détente pour filer vers la ferme des autruches à La Peyratte (à voir si vous passez dans cette région !). Nous y arrivons vers 12h30 pour le déjeuner. Elodie qui nous accueille nous a prévu un petit apéro bien frais (un birnou) accompagné de charcuterie d’autruche puis un repas à base de viande d’autruche (et dire que nous les voyons gambader dans le pré à côté ☹ !). La viande servie s’avère délicieusement tendre, suivie d’un café gourmand maison. Nous attaquons ensuite la visite, qui commence par un long exposé sur la race de ce drôle d’oiseau, son évolution au fil des siècles (l’autruche est un animal préhistorique), sa migration depuis Madagascar vers les pays d’Afrique plus au nord, sa transformation physique pour s’adapter à ses nouvelles conditions de vie, climatique et alimentaire, et puis, la reproduction, avec en détail la parade amoureuse du mâle avec sa favorite et les autres femelles qui composent son harem (là je peux vous dire que nos hommes étaient captivés !!!). Elodie nous montre un adorable autruchon d’une semaine. Elle nous emmène ensuite dans le parc voir toutes ses bêtes. Nous commençons par la petite section de maternelle, avec des jeunes autruches de 1 an (elles mesurent toutes plus de 2 mètres !). Et puis nous découvrons ainsi les différentes parcelles pour arriver à celle des reproducteurs. Alors là, Elodie nous demande d’être silencieux afin de ne pas les effrayer et surtout, que les hommes se tiennent éloignés de l’enclos afin que les mâles autruches ne sentent pas les phéromones de nos mâles bikers afin de ne pas déranger le processus ! L’auditoire est réellement captivé en découvrant cet oiseau qui ne vole pas mais qui court le 100 mètres bien plus vite qu’Ushain Bolt et qui a une vision jusqu’à 5 km ! Mais le temps file et nous devons repartir.

    Le retour, sous une chaleur toujours caniculaire, se fait sans encombre. Nous rentrons à l’hôtel et là les courageux pour la piscine se font beaucoup plus nombreux. C’est vrai qu’elle était fraîche mais ça a fait un bien fou après cette chaude journée ! La dernière soirée commence, comme d’habitude par l’apéritif (heureusement que nous dormions sur place !!! Enfin sauf Didier et Sandra et Samuel et Lydie qui avaient trouvé un petit appartement pas loin de l’hôtel et qui rentraient à moto, mais bon ils ont été raisonnables ! Et les Bordelais étaient dans un camping d’où ils venaient à pieds). Allez, encore quelques tournées qui sont offertes, après tout c’est notre dernier soir ensemble alors on en profite ! On passe à table, et puis après le dîner une piste de danse s’improvise sur le trottoir devant l’hôtel, avec les motos en guise de sono ! On lance donc un « madison » suivi d’un Jean Petit mené par Eric M debout sur une petite table (dangereux, mais l’accident ne viendra pas de là !). Tout le monde participe, les badauds sont amusés de voir tous ces bikers danser, et puis, paf, l’accident ! Christèle en pleine chorégraphie et en plein élan bute contre un bloc de béton du parking et fait un vol planer ! Résultat : l’arcade sourcilière en sang et une douleur vive à l’épaule. La pauvre est KO ! On appelle les pompiers, mais ils sont débordés et ne peuvent venir. Une ambulance : pas possible avant 2 heures… donc notre incroyable Ludo (le gérant de l’hôtel) se propose pour emmener notre pauvre Christèle à l’hôpital le plus proche à Luçon. Les voici partis avec Armelle notre infirmière (qui heureusement était là, merci Armelle !), Titi T et Eric M. Christèle sera transférée à la Roche sur Yon. Verdict : humérus cassé ☹.

    Dimanche 2 Juin : ça y est, il faut reprendre la route ! Titi T et Eric M vont de leur côté rendre visite à Christèle et lui porter quelques affaires. Ils nous rejoindront pour le déjeuner. Nous prenons des petites routes avec une pause-café à Cerizay, et puis direction vers les alentours du Mans où nous déjeunons au Macdo (histoire d’enterrer définitivement le régime !!). On fait le plein des motos et c’est reparti, direction Paris par autoroute sous une chaleur étouffante !

    1660 kilomètres parcourus sur ces 4 jours ! Et, comme Christèle devait faire le reportage, elle avait, m’a-t-elle dit, comme idée de fil conducteur le Festival de Cannes. Alors c’est avec plaisir que je décerne mes palmes d’or :

    • Palme d’or de la participation à vous nos membres, sans qui nos sorties ne pourraient se faire.
    • Palme d’or de la route (enfin, à part quelques demi-tours dont un qui nous a bien fait galérer sur un petit chemin bien étroit avec des graviers… !!!) à Alain en road captain.
    • Palme d’or de la sécurité à notre « road crew » : safeties et serre-file, grâce à qui nous roulons dans de merveilleuses conditions.
    • Palme d’or de l’accueil à Nath et Ludo, nos hôtes qui ont été adorables, disponibles, à l’écoute avec nous tous, encore merci à eux !
    • Palme d’or de l’amitié inter-chapter à nos amis Bordelais et Rochelais (ils se reconnaitront s’ils lisent ce reportage).

    Un grand merci à tous et à très vite pour de nouvelles aventures !

    Je vous embrasse

    Virginie

    Retrouvez toutes les photos ici !

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  • Picassiette – samedi 18 mai 2019

    Rendez-vous 9h – rien que pour l’horaire nous sommes partants – pas de pique-assiettes : 42 participants dont 39 motos et 1 Trike – 4 ladies : Virginie, Nicole, Nathalie et Jennifer. 

    Pas de pique-assiettes mais des nouveaux : Eric B et sa femme Dominique, Dominique B, Jennifer B et Olivier C : bienvenue J ! 

    Allez ne piquons pas déjà dans un retard, équipés de nos vêtements de pluie nous voici partis. Les paysages et villages traversés sont bucoliques et charmants, dommage qu’on nous ait piqué le soleil… 

    Notre road captain du jour Patrick P, pique un tour de rond-point : le serre file devient marschall que se passe – t-il ? Allez tout rentre dans l’ordre… pas de pique-assiettes non plus. 

    Une pause-café plus loin, nous arrivons à bon port au restaurant le Cléo à Luisant où Jean- Michel, non Jean-Pierre, non Jean-Yves (bref on ne nous a pas piqué le chef ?) nous accueille. Quelle gentillesse on se pique à refaire la décoration du restaurant et à modifier les plans de table sous son œil bienveillant. 

    Le repas est excellent attention de ne pas piquer dans l’assiette du voisin. 

    En route pour visiter la maison Picassiette. Raymond Isidore passa 29 000 h de décoration et utilisa 15 tonnes de débris de vaisselles et de verres multicolores. Il débuta en 1930 jusqu’à sa mort en 1964. Elle est classée monument historique depuis 1983. Bien-sûr le nom vient de l’expression « pique-assiette ». C’est atypique à voir. 

    Nous repartons sous la pluie, une jolie route piquée de verdure et nous voici au point de séparation. 

    On espère que vous vous êtes piqués au jeu et que vous serez des nôtres la fois prochaine. 

    Bilalette.

  • Stage sécurité – dimanche 12 mai 2019

    La gendarmerie motorisée de Pontoise a mis en place des stages sécurité pour nous les bikers.

    Rendez-vous pris ce 12 mai avec deux gendarmes Marc et Marc 😉 . Brunch au Campanile de Pontoise après non plus un demi-tour mais une demi-portion de route de notre road captain Eric M, qui se fait doubler par notre marshall Virginie gloups !

    Petit briefing de Marc assisté de Marc et 13h nous voici partis à la caserne juste à côté.

    21 Bikers avaient relevé le défi dont deux ladies : Nicole et Virginie. Alors certains ont espéré la pluie pour que ce soit annulé, que nenni joli soleil.

    4 ateliers : le slalom de cônes (les préférés de Virginie), le tour autour d’un pneu, le parcours lent et le pneu et le freinage d’urgence.

    Chacun applique sa méthode sous l’œil vigilant de Marc et Marc :

    Décontraction pour certains, appréhension pour d’autres, semi sérieux pour certaines, sérieux limite grave pour quelques-uns….

    Les ateliers sont réussis par tous à la fin de la session. Nos bikers sont en nage de sueur par l’attention et les exercices : impressionnant.

    BRAVO. Inutile de me demander qui a réussi mieux que l’autre, si des chutes il y a eu : je ne dirai rien car je suis admirative de vous les bikers et de Marc et Marc qui en une après-midi ont réussi à vous apprendre à tourner tous sans exception autour du pneu.

    Un diplôme est décerné à chacun à la fin, nos mercis sont à la hauteur des sourires des bikers et à leur satisfaction d’avoir réussi. Merci Marc et Marc pour votre diplomatie, pugnacité et professionnalisme.

    Au plaisir Marc et Marc

  • Wine and Sea à Bordeaux du 19 au 22 Avril 2019

    Le PWC part pour son weekend pascal voir nos amis Bordelais pour la 3ème année consécutive.

    23 motos, 37 participants dont 3 ladies : Armelle, Nicole et Virginie : la recherche des œufs de Pâques fédère ?

    Vendredi 6h30 : rendez-vous à Chambourcy tous prêts pour cette chasse à l’œuf…

    Départ à 7h aucun retardataire. Autoroute, petit déjeuner ouf il fait beau mais froid. 1er couac : Thierry T a un problème sur sa moto : elle broute (ce n’est pas le jour de la recherche des œufs pourtant) plus de frein avant, elle vrille de l’avant gloups. Il part devant le convoi, il est prévu qu’on le rattrape pour le déjeuner, je monte derrière Bidou (pour info attention je teste vos motos les garçons.. après la Normandie derrière Eric M…) on repart. Puis 2nd couac : c’est Armelle qui a un voyant qui s’allume.

    Le convoi s’arrête : problème électronique réglé par téléphone avec notre concession : on repart ouf… mais Thierry T alléché par la chasse aux œufs a avancé bien plus que prévu, au diable le rattrapage… On s’arrête pour déjeuner, on l’appelle : il est à la station d’après avec 3 bikers de Jersey. Patrick P, qui la veille a cassé le ressort de sa béquille, décide de les rejoindre pour se rendre au plus tôt à la concession.

    On déjeune sous le soleil et là Didier L demande à sa femme Sandra de sortir le parasol. Interloquée je les regarde et non c’était une blague mais sait-on jamais ?

    Arrivés à la concession, moto réparée pour Patrick, moto en cours de réparation pour Thierry T. Des boissons fraiches et les œufs (non toujours pas) des cannelés nous attendent. Quelques achats pour certains et départ pour Le Slow village à Biscarosse. Joli village de vacances : on traverse la route c’est la plage et le lac. Chacun prend possession de son chalet-mobil home. Apéritif à 19h30, retrouvailles avec les autres chapters, on dine et un DJ met l’ambiance à l’extérieur. Un « Jean petit » (mené par Tophe) et un peu plus tard au lit demain rendez-vous à 8h45….

    Samedi : on part côté Sea – difficile de trouver des œufs dans le sable non ?

    10h après avoir longé le bassin d’Arcachon nous voici au port de La Hume, aux « Richesses d’Arguin » pour déguster des huitres mais pas que. Des bulots, des bigorneaux et des crevettes et une chipolata (et du vin blanc… avec modération ! Il faut préciser que les Bordelais ne prévoient pas d’alcool dans leurs déjeuners lors de leurs sorties, mais ils prévoient le vin blanc à 10h du mat 😊 !)… que du bonheur cela dans la bonne humeur et sous un soleil qui commence à réchauffer tout le monde. Et les œufs en chocolat ?? Départ et là « on n’attend pas Patrick ? » on arrive au Camping « les Flots Bleus » quelques photos prises de Patrick en Herbe, 2 heures de calme pour déjeuner et pour les plus courageux grimper en haut de la Dune de Pyla. Allez,  on se lance pour quelques-uns (moi je crois qu’ils ont planqué les œufs en haut ? donc j’y vais..) arrivés, essoufflés, en haut que du bonheur c’est magique et beau.  Pendant ce temps certains font la sieste. La température monte. Toujours pas d’œufs en chocolat ?

    15h rendez-vous pour visiter le Musée de l’Hydraviation à Biscarosse.

    Alors 3 guides sont mis à  notre disposition

    Un pour l’histoire :

    Biscarrosse, village de résiniers que rien ne désignait pour un destin aéronautique, fut choisi par Pierre-Georges Latécoère pour devenir le lieu de montage et d’essais des plus grands hydravions français. C’était en 1930 ; le lac de Biscarrosse vit ainsi partir plus de 120 hydravions gigantesques.

    On les appelait les « paquebots des airs », à destination de New-York ou Fort de France. Aux commandes de ces prestigieux appareils, des aviateurs comme Mermoz, Guillaumet ou Saint-Exupéry ont marqué de leur empreinte l’histoire de l’aéronautique.

    Aujourd’hui les hydravions sont encore nombreux à assurer des missions particulières telles que la lutte contre les incendies, la surveillance des côtes et le secours en mer, le transport de personnel et l’exploration dans les zones jugées inaccessibles. Et devant l’augmentation du trafic aérien aujourd’hui, certains constructeurs envisagent le retour d’hydravion comme porteur de fret et même de véhicule de loisirs.

    Un pour la partie musée

    Un film est projeté et cette partie du musée rassemble des archives, documents photographiques, cartes anciennes, autographes, éditions originales, tenues de vol, décorations, uniformes, livres de bord, carnets de vol, souvenirs personnels de célèbres pilotes, pièces détachées, moteurs, hélices, maquettes d’hydravions dont certaines fort anciennes, décorations intérieures, tableaux originaux et reproductions, affiches, documents publicitaires de l’époque…

    Un pour la partie technique :

    La 3ème partie est un hall de 480 m2 des hydravions de 1912 aux années quatre-vingt, restaurés ou en cours de restauration, sont exposés

    Un peu de méa culpa : il fait chaud et on a roulé hier et on a dansé hier soir et on a cherché les œufs en chocolat… donc avec toute la bonne volonté de Monique (ou Dominique ?) notre guide, stressée par cette première pour elle, on s’allonge dans l’herbe enfin sur les chardons et nous ne sommes pas tous (moi la première) pas très attentifs.

    Et pendant ce temps Didier L et Sandra s’aperçoivent qu’ils ont perdu leurs cartes bleues.. en amoureux et en cœur.. les deux cartes dans la même pochette ? Un safety de Bordeaux les ramène aux Flots Bleus : que nenni et toujours pas d’œufs en chocolat.  En faisant opposition les cartes réapparaissent dans le blouson de Didier L. rangement pour eux improbable ? Comme le parasol non ??

    Allez, retour à nos villégiatures du weekend : la douche est la bienvenue après cette journée ensoleillée. Apéritif, discours des présidents des Chapters, merci encore au concessionnaire (le PWC est un client actif…) et repas avec un groupe qui met l’ambiance. Dodo tôt pour certains, d’autres feront la fermeture dont Tophe et Thierry T qui rentreront à pas d’heure (pas de souvenir) mais le ventre de Tophe comporte une adresse au stylo … est-ce l’énigme pour les œufs ? Non toujours pas ? Il s’agit de l’adresse d’un breton en kilt 😊 !

    Dimanche : on part côté Wine – le temps est gris –

    Visite du château de Rouillac : là on a été exemplaire, sages, attentifs, intéressés avec des questions appropriées. Bon Didier L pose la question sur le Doliprane pour le soin des vignes mais dans l’ensemble nous sommes très sages.  Accueil extraordinaire avec 3 jolies guides, le maitre de chais : Sophie, le coté histoire du domaine avec Clio et la découverte des écuries par une des filles du propriétaire : la famille Cisneros. Ce château a appartenu au Baron Haussmann en 1864. En 2009 Laurent Cisneros redonne ses lettres de noblesse à cette belle propriété de 36 Hectares. Il obtient en 2013 la Certification Haute Environnement en supprimant les herbicides chimiques et le retour au labour effectué en grande partie par un cheval de trait (Titan : 1,1 tonne !).

    La visite des écuries (deuxième passion du propriétaire) qui accueillent des chevaux de sport. Au PWC nous n’avons pas l’homme qui parlait aux chevaux mais l’homme qui fait rire les chevaux en la personne de Bidou (voir photo).

    On déguste, Didier D cette fois ci déguste du blanc pendant que tous avons du rosé (il incrimine ses lunettes de soleil…), on commande, et en route pour le déjeuner qui sera pris au Restaurant les Ailes à l’Aérodrome de Saucats. Excellents repas et accueil. On repart pour quelques photos de châteaux, un arrêt au château Smith Haut Lafitte où les filles effectuent quelques emplettes en soin Caudalie. Et les œufs en chocolat alors ?

    Retour au Slow Village. Alors que Virginie a quelques difficultés avec la montée vers le parking pleine de gravier elle nous émet le cri célèbre de la mouette pour que l’on vienne à son aide : chose faite. Thierry T bascule et les filles du chapter (il n’est pas peu fier) lui viennent aussi en aide. On se prépare pour la dernière soirée. ROD dédicace le numéro 2 de sa BD avec beaucoup de succès auprès de nos Bikers puis apéritif, diner et dance floor… Jacques K et Martine nous rejoignent pour une soirée pleine d’émotions.

    Un grand merci à tous : vous membres du PWC pour votre bonne humeur et participation, vous les Bordelais pour votre accueil, votre bonne humeur et votre organisation sans faille.

    Lundi de Pâques : on repart rejoindre nos maisons – autoroute sous un ciel menaçant mais sans pluie on se sépare sous les embrassades et retour dans nos maisons vers 18h

    Au fait qui a piqué les œufs en chocolat ?

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  • Cochon Grillé à la Ferme du Bout des Prés (Cernay-la-Ville) – dimanche 7 avril 2019

    Un rendez-vous pas trop matinal en ce dimanche matin, ce n’est pas pour nous déplaire ! Il est donc 9h00 quand nous nous retrouvons à Chambourcy,

    Il ne fait pas un temps très prometteur, avec même quelques gouttes de pluie… tout le monde est à l’heure, enfin presque, nous attendons Aïsha… Ça y est, elle arrive, le convoi (32 motos) se met en route : Alain en road captain ; les safeties : Titi T, Titi S, Eric M, Hervé, la Miche qui endosse pour la 2ème fois le gilet de safety ; Virginie en marshal, Stéphane notre serre-file ; sans oublier le couple Jacques et Christine notre photographe.

    La route se déroule sans embûche, on ne reviendra pas sur un joli demi-tour de notre road captain (Eric M sors de ce corps 😊 !!), soi-disant parce qu’on était trop en avance (admirez la mauvaise foi du road captain) ! Une petite pause-café au bout d’une heure de route à Gambais, ça fait du bien pour se réchauffer car il ne fait pas très chaud. Nous reprenons la route et arrivons très à l’heure à Cernay-la-Ville.

    La salle est bien remplie, nous nous attablons, et les plats sont servis : tarte paysanne, rillettes, pâté maison, le fameux cochon grillé avec du gratin de pommes de terre et des courgettes, fromage, tarte aux pommes… ouhla ce soir ce sera un yaourt, un bout de pain et au lit ! (Ce n’est pas moi qui l’ai dit !)

    Pas le temps finalement d’aller flâner dans le parc voir les animaux, une fois le repas fini, et après la traditionnelle photo de groupe, nous regagnons les motos. Et la journée ne serait pas complète sans un petit « madison » dansé sur le parking, suivi d’un « Jean Petit » guidé par notre spécialiste « Tophe », pour la plus grande joie des visiteurs qui semblaient ravis de voir tous ces bikers en train de danser avec autant d’entrain sur un parking !

    Nous prenons la route du retour, jusqu’à Chambourcy, certains se séparent pour rentrer plus rapidement chez eux. Le plus gros du convoi se retrouve donc au point de départ pour se dire au revoir et à très vite ! 170 kms parcourus sur les petites routes des Yvelines. Merci à chacun pour votre participation sans laquelle une fois de plus, cette sortie n’aurait pas été aussi agréable.

    Prochain rendez-vous : départ pour l’inter-chapter de Bordeaux le 19 avril pour ceux qui sont inscrits, et un peu après, Picassiette à Chartres le 18 mai (flyer à venir).

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  • Sortie à la découverte de la vallée de l’Andelle – dimanche 24 mars 2019

    Première sortie de l’année : une réussite !!!

    Première sortie 40 motos dont 2 trikes, 58 bikers dont 4 ladies : une réussite !!!

    Rendez-vous à 7h30 : tous à l’heure premier départ avec 5 safeties, un road captain, un marschal et un serre file : une réussite.

    Un peu froid au début : premiers rayons de soleil avant un petit déjeuner réussi…

    Notre road captain nous emmène à travers la campagne, de jolis petits villages où les coucous aux habitants sont de rigueur (moi j’ai mon truc le salut de la reine d’Angleterre très digne mais pas biker pour un sou….)…. Une première pour notre road captain Eric M, pas de demi-tour : une réussite même si ça nous a manqué… le ballet de 40 motos vaut le détour, tout le monde respecte les consignes de sécurité, une réussite.

    L’heure du déjeuner arrive, que des champs à l’horizon : diable le flyer proposé un « clin d’œil » au pays d’origine de nos montures… le clin d’œil un faux ou un vrai ??? Pour une première pour notre organisateur Didier D : une vraie réussite : nous nous retrouvons dans un ranch avec chevaux à l’American Grill à Pinterville dans l’Eure au milieu de nulle part où nous seront servis des hamburgers à jalouser les américains. Le décor de la salle est incroyable photos, enjoliveurs au mur, le poêle chauffe l’ambiance, bref une pause plus que réussie merci !

    En route pour l’Abbaye Royale de Mortemer qui se trouve au cœur de la hêtraie de Lyons la Forêt, à Lisors …. Après une première promenade réussie malgré les passages étroits en petit train (enfin presque il faut un peu d’imagination : c’est un tracteur devant les chariots du train…) conduit par Dominique notre guide, nous visitons le musée des fantômes et des légendes : c’est en sous-sol que nous est conté, entre autres, que depuis plus de 80 ans, Mortemer est un lieu hanté. Simple légende, la Garrache, cette femme louve apparue en 1884 à Roger Saborreau ? Mathilde, la dame blanche, femme et rêve à la fois, ou bien encore, les fantômes des quatre moines massacrés sous la Révolution ? La population refuse d’y croire mais la rumeur y fait sans cesse référence. L’Abbaye fut exorcisée en 1921. Alors vous y croyez… réussi non ?

    Alors c’est une première réussie tant au niveau du parcours, du repas (++++) et de la visite. C’est une première pour beaucoup de nouveaux membres et j’espère qu’elle est réussie pour vous aussi.

    Maintenant il faut faire perdurer la réussite et que cette première ne soit pas la dernière.

    Au plaisir

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  • Accueil des nouveaux et BBQ – samedi 16 mars 2019

    Journée plus que formidable (vous étiez formidables, nous étions formidables) : je vous la narre.

    126 inscrits de l’exceptionnel : le bureau se met en action pour que cette journée soit formidable (vous étiez formidables, nous étions formidables) :

    • La veille on installe les panneaux gentiment prêtés par le grand Lolo pour le stationnement,
    • Les courses sont commandées (pour 126… une vraie colonie de vacances)…
    • 8h30 le bureau installe les tentes, les tables, allume le bbq pour précuire
    • 9h45 le directeur reçoit les nouveaux et anciens du PWC avec des diapos pour expliquer qui nous sommes, comment on roule, ce que l’on va vous proposer….
    • 11h00 départ pour le run qui met en application les consignes vues en réunion
    • Pendant ce temps les agapes de l’apéritif sont installées
    • 12h00 retour du run
    • Enfin l’heure de l’apéro 😉

    Donc tout est formidable (nous étions formidables) à ce stade car on prend à cœur de bien vous accueillir et on fait cela dans la bonne humeur et on avait même commandé le soleil pour midi (c’est formidable non ?)

    Pendant que vous vous restaurez, un magicien Greg passe entre les tables et Patrick (Jules Dit Moulin) avec sa voix de crooner se lance dans son répertoire : c’est formidable (vous étiez formidables).

    Et pour être complet : Jacques G l’accompagne à la basse, Camille M chante quelques morceaux ainsi que Thierry S : c’est formidable (vous étiez formidables) ils sont heureux et nous aussi.

    Et parce que l’on ne fait pas les choses à moitié : le fils d’Olivier (le vendeur de chez Harley) Alexandre pousse aussi la chansonnette et pour finir d’accompagner ce tour de chant n’ayons pas peur des mots Franck Hannou (allez sur Youtube ou Facebook) Chanteur Guitariste met le feu : formidable (vous étiez formidables, nous étions formidables).

    Entre ces chansons, une jolie jeune femme vient entrainer quelques filles et notre Toph dans trois morceaux de Zumba : un peu de sport et beaucoup de bonne humeur au vu de vos déhanchements c’est formidable (vous étiez formidable).

    18h, on a remis en ordre la cour de la concession, tous les adhérents et le bureau repartent en se disant que cette journée était vraiment formidable (vous étiez formidables, nous étions formidables).

    Au plaisir

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  • Soirée à « L’instant » – samedi 16 février 2019

    Certains arrivent en avance et profitent de la douceur de cette fin de journée pour boire un petit apéro sur la terrasse. 

    Nous étions 50 à nous retrouver dans cette brasserie très sympathique de Poissy. Le repas est servi, chacun semble satisfait de ce qu’il a choisi.

    Un DJ avait été prévu et nous laisse diner tranquillement avant de lancer les premiers rocks. Bon, je l’avais briefé en début de soirée sur le type de musique à nous mettre mais après les classiques rocks et les tubes des années 80, je lui ai demandé de nous passer des titres plus récents. Nous avons eu droit au traditionnel et incontournable madison.

    A priori, au vu du nombre de personnes sur la piste, le choix musical remporte un vif succès. Il est minuit, à l’heure où le carrosse va redevenir citrouille, la soirée se termine.

    Merci aux nombreux participants sans qui chacun de nos événements ne pourrait être un succès !

    On se retrouve le 16 mars pour le grand BBQ à la concession (petit rappel : inscriptions en ligne sur le site !)

  • Premier RUN de l’année

    Un grand et beau soleil était annoncé et sur ce coup-là Météo France ne s’était pas trompé ! Les bikers qui s’étaient inscrits pour ce premier run sont donc tous au rendez-vous, à 14h à la concession.

    25 motos et 1 trike, Alain en road captain, Thierry S., Eric M., Bidou, Hervé D. et Patrick P. en safeties, Virginie en Marshal et Stéphane M. en serre-file, voilà c’est reparti pour un tour !

    Quel plaisir de rouler avec ce temps !

    Bon, on ne change pas une équipe qui gagne, et pour reprendre les bonnes habitudes on a droit au quasi habituel demi-tour sur un rond-point 😊.

    Une jolie route à travers la campagne nous mène au bout d’une heure à Mantes, aux portes du West Motors night où nous nous séparons.

    Certains vont visiter l’expo et dire bonjour à notre concessionnaire préféré qui avait un stand et d’autres prennent le chemin du retour.

    Pour la plupart, on se dit à ce soir puisque la soirée à « l’Instant » à Poissy clôturera cette belle journée.

  • Grand Prix d’Amérique

    Bonjour,

    Je m’appelle Bold Eagle et je suis né le 22 mars 2011. Je suis le fils de Ready Cash et de Reethi Rah Jet. On dit que mon père est un étalon miracle et que j’ai une famille maternelle de rêve ainsi que des grands pères et arrières grands pères hors pair. C’est vrai et je dois dire qu’ils me manquent. Nous aussi, les animaux, nous sommes attachés à notre famille mais cela ne semble pas être évident pour les humains.

    Comme vous le savez puisque vous êtes venus participer au grand prix d’Amérique avec vos belles machines de Milwaukee, je n’ai pas gagné cette fois-ci et c’est une grande dame française, Bélina Josselyn, drivée par Jean-Michel Bazire, qui a remporté ce 98ème prix d’Amérique, le 4ème s’appelant Davidson (du Pont) … comme vos Harley ☺

    Je sais que vous êtes partis courageusement le matin à 8 heures, sous la pluie et le vent, Audrey, Brigitte, France, Kal, Bruno, Christophe, Eric, Gilbert, Gilles, Hervé, Matthieu, Pascal, Sam et Thierry, Christèle n’ayant malheureusement pas pu venir. A l’arrivée, distribution des badges, drapeaux, tickets pour le repas puis, dans la matinée, organisation de la parade, Christophe ayant choisi d’emmener une pom-pom girl (on m’a rapporté qu’il y avait des photos), Matthieu et Eric transportant, quant à eux, des drivers.

    Si vous êtes intéressés, je peux vous rappeler (ou vous apprendre) que le grand prix d’Amérique a été créé en 1920 pour honorer l’engagement des États-Unis dans la Première Guerre Mondiale et qu’il s’agit de la plus grande course de trot au monde qui réunit les dix-huit meilleurs cracks mondiaux sur une distance classique de 2700 mètres.

    C’est pour cette raison que les Harley-Davidson sont conviées à la cérémonie d’ouverture pour faire l’ouverture de rideau avec leur fameuse parade. Au programme du show : 450 artistes, plus de 100 motos Harley-Davidson et défilé des 18 drivers au départ du Grand Prix d’Amérique … sans parler des pom-pom girls (hein, Christophe !).

    Je n’ai pas vu le spectacle mais il devait être très réussi, Mario Luraschi, le célèbre dresseur, cascadeur et voltigeur étant venu avec sa troupe dérouler une mise en scène sur le thème des indiens et des cow-boy (je mets les indiens en premier, c’est un choix éthique de la petite main qui écrit pour moi).

    J’espère que vous avez passé une bonne journée avec nous malgré le temps. Nous, les chevaux, nous sommes habitués à la rigueur des climats même si, en tant que « vedette », nous sommes particulièrement bichonnés et, croyez-moi, je le suis par mon lad ange gardien, Hughes Monthulé, et mon entraineur, Sébastien Guarato. 

    Ne tenez pas rigueur à ma fan de ne parler que de moi, je crois qu’elle ne voit que mes qualités. Elle me trouve attachant, beau et câlin. C’est ce que tout le monde dit, c’est peut-être vrai. Je vous ai surement déçu dimanche mais j’ai tout donné comme d’habitude … simplement, les mauvais départs ne pardonnent pas. Je n’ai plus rien à prouver et j’ai un grand cœur. Encore une fois, bravo Bélina, cela faisait longtemps qu’une jument n’avait pas gagné le prix d’Amérique, 20 ans pour être précis, après la grande américaine Moni Maker, en 1999.

    Je vous dis à très bientôt, je vous envoie un petit frottement de naseaux affectueux et je vous remercie encore d’être venus nous voir si nombreux.

    Bold Eagle

    Bold Eagle : TROTTEUR FRANÇAIS mâle
    Détient 43 victoires.
    Double vainqueur du Grand Prix d’Amérique et du Grand Prix de France (2016, 2017), Grand Prix de Wallonie 2017 (Mons), Grand Critérium de Vitesse de la Côte d’Azur 2018, Grand Prix de Bourgogne (2018).
    Vainqueur de la Triple Couronne 2017 (Prix d’Amérique – Prix de France – Prix de Paris).
    Ex: Record d’Europe en 1’08″4 à Solvalla le 28 mai 2017.

    La parade (On ne voit pas trop les motos 😉 )