Votre panier est actuellement vide !
Catégorie : Reportages – 2020
-
Canal de l’Ourcq le dimanche 4 octobre
Depuis une semaine, Dame Météo annonçait un temps exécrable pour notre dernière sortie de l’année. Mais ça, c’était sans compter sur notre Road Captain du jour Eric, ami des Dieux de l’Olympe, qui se devait de conjurer le sort en mémoire de nos trois dernières années.
Le Canal de l’Ourcq ! Fil « conducteur » de la journée.
Canal situé au Nord Est du bassin parisien, commençant à Mareuil sur l’Ourcq pour rejoindre le bassin de La Villette à Paris, la rivière de l’Ourcq est canalisée et navigable depuis le « port aux Perches » sur la commune de Silly la Poterie.
Qui connait ?
Eh bien… Les 22 vaillants membres du PWC dont quelques nouveaux que nous saluons, le sabre aux dents et la grenade à la ceinture, qui s’aventurent dès 7h30 dans la coulée du road Captain et de la Marschalle pour s’enrichir de la réponse. Conquis par l’enthousiasme de tous, les routes, avenues et ronds point défilent à cadence soutenue, toujours assurés par notre équipe de safeties déterminés à ne pas s’en laisser compter et entourés de notre couple de tireurs délites à souvenirs, toujours aussi fougueux pour écraser le ‘flash’.
Chargez…. !!!!

Eole, Dieu du vent, est de la partie, chassant la pluie et asséchant nos routes quelques peu capricieuses au sortir des ronds-points… Certains s’en souviendront mais heureusement sans conséquence, si ce n’est une maitrise plus affirmée de leur machine.
A l’heure de notre pause-café, les mains tremblent, tellement le contraste de température est saisissant. Quelques-uns, ne s’étant pas rapprochés de notre Gilot Pétré national depuis plusieurs semaines, avaient conservé l’accoutrement du bord de plage mais… il aura fallu faire très vite le fond des sacoches pour en extraire quelques épaisseurs qui nous auront tous permis de reprendre notre périple dans de meilleurs conditions.

Une fois franchie la vallée de la nonette, bref signe de la main ou balancement de la jambe pour saluer Henri d’Orléans encore surpris par notre cavalerie, nous laissons Chantilly derrière nous, direction les plaines de l’Ourcq. Les endroits Fée Eric se succèdent et nous conduisent sur…. Le canal de l’Ourcq !. Notre Captain nous a préparé pour que l’embarquement s’effectue tranquillement mais, c’était sans compter sur le gabarit de nos destriers…. évidemment trop nombreux pour s’aventurer sur une probable barquette que nous attendons toujours.
Sans désarmer, et toujours enthousiastes, à la promesse d’un aubergiste compréhensif, nous reprenons notre chemin pour nous retrouver une heure plus tard, rangés respectueusement devant l’auberge …. sur le territoire de Meaux.

Après agapes agréables et beuverie limitée pour cause de maîtrise de nos chevaux sur un terrain militaire inconnu, nous nous dirigeons vers le musée de la grande guerre du pays de Meaux.
Soudainement, ébahis par le lieu dominé par son architecture et sa magnifique statue qui aurait fait ‘saliver’ notre directeur, c’est dans un calme assourdissant que nous pénétrons en ce lieu chargé d’histoires pour y découvrir les traces d’un passé sanglant encore si proche de nous.
Deux heures d’histoires avec des hôtes passionnés, et nous retournons vers le coin des écuries, juste à l’étage inférieur, où sont logés nos fiers destriers.

C’est dans un brouhaha impressionnant, entre les murs de ce musée, que notre convoi se reforme pour s’assurer d’un retour dans les meilleures conditions, sous un soleil radieux. Le Captain a le ‘smile’, et fier comme ‘dartaban’ il reprend la tête de ses troupes, en optant pour des chemins plus rapides qui nous permettent de nous retrouver une heure plus tard, stationnés à notre point de séparation.
Pour dire la puissance du geste, signe de Zeus, une légère pluie nous aura accueilli juste à l’arrivée.


Quelques minutes plus tard, c’est sur les réseaux que se traduisait la satisfaction de tous et la découverte de photos souvenirs qui cimentent plus encore notre PWC. Merci Philotès 😊

Les photos de Cristina Photos
-
Week-end en Touraine – 29 et 30 août 2020
C’est désormais un rituel, le week-end de fin août, placé judicieusement entre le retour des congés et la reprise de nos activités, permet de nous retrouver après près de deux mois sans contact… et nous savons combien cette année a été compliquée pour les contacts.
C’est donc les 29 et 30 Août qu’Eric G. nous a donné rendez-vous pour découvrir au Fil de l’eau la belle région qu’est la Touraine. « Au fil de l’eau » certes mais pas sur un long fleuve tranquille, 36 inscrits qui se finaliseront par 33 participants et seulement 28 au départ.
Une crevaison et des maux d’enfant auront raison de 5 participants qui nous rejoindrons plus tard dans la journée et concernant les 3 autres, ils vont bien …
Un week-end de pré-rentrée commence par une remise en jambe avec un rendez-vous matinal fixé à 7h00, 20 motos rutilantes prêtent à en découdre avec les quelques 560 km qui nous attendent.
Bizarrement, les sujets de conversations ne tournent pas autours des vacances ou du dernier truc à la mode C19 mais sur la météo annoncée, il est vrai qu’après deux semaines de canicule ce week-end est placé sous le signe de la pluie sur la totalité du territoire.
Combi pas combi, voilà la troupe lancée sur nos belle routes de campagne en direction de Loch notre destination finale mais n’allons pas trop vite.


Après presque 2h de route, petit arrêt pour le bien être de nos montures et pour nous réchauffer un peu (toujours pas de pluie). Nous repartons en direction de Blois et apercevons sur notre chemin un petit édifice au milieu d’un domaine Royal et décidons d’immortaliser l’instant avec de très belles images, Chambord vous dites … c’est pas mal !

Nous traverserons de nouveau la Loire afin d’y découvrir les abords et monuments que la ville de Blois nous laisse entrevoir émerveillant nos regards.
Après la Loire, direction Le Cher pour une petite halte à Montrichard et son magnifique donjon mais également le lieu de tournage du film « Arrête moi si tu peux » de Spielberg avec Leonardo Di Caprio et Tom Hanks et bien d’autres anecdotes contées par notre GO Eric.G

C’est donc en longeant Le cher que nous nous rendons au « BISTROT’ QUAI » afin de nous rassasier .
La situation sanitaire contraint le restaurateur de s’adapter et il l’a fait plutôt bien, pas de plat chaud mais une très grande variété de terrines en tout genre accompagnées de Chips’ artisanales, ce qui nous permet de partager nos avis et gouts tout en échangeant nos denrées.

Toujours pas de pluie, l’ambiance est conviviale et les conversations sont désormais tournées sur l’activité digestive qui nous attend non plus au fil de l’eau mais « SUR » l’eau à bord de magnifiques canoës…
Il faudra d’ailleurs plusieurs appels d’Eric pour que l’ensemble se dirige vers l’embarquement, certains même sont surpris de cette activité, (tout le monde ne lis pas les flyers apparemment).
Aller tout le monde se lève quand un bruit familier des Harley nous annonce l’arrivée de Lydie, Valou, Didier et Sam qui a pu faire réparer son pneu dans la matinée. Pas le temps ni trop l’envie de nous accompagner en canoë, ils iront à leur tour se rassasier.

Après le brief sécurité et l’apprentissage théorique du passage à gai des écluses, nous voilà enfin embarqués non pas sur les canoës mais dans des camionnettes qui nous emmènent au point de départ, situé quelques kilomètres de là, à Montrichard le retour !
La mise à l’eau des canoës nous en dit long sur les passages à venir des écluses, un peu plus de 10 kilomètres de « descente » sur Le Cher qui n’a visiblement pas plus de courant qu’un lac.
Les plus aguerris filent sur les flots pendant que d’autres découvrent l’importance du placement de l’équipage et la technique du rond point.

C’est après une première étape de 3 kilomètre que prend fin la partie bucolique de la promenade, en effet le passage de la première écluse en laissera 2 sur le quai, pendant que certains sont sans doute arrivés à la seconde écluse, d’autres assurent la sortie et la remise à l’eau des embarcations des derniers navigateurs en herbe.
Les bords du Cher sont magnifiques sous les rayons de soleil qui nous réchauffent et nous motivent, Le Moulin Fort nous annonce l’arrivée à la seconde écluse, qui heureusement nous est ouverte.

Petit moment de réconfort et ou de moqueries habituelles et distribution de paniers.
Est-ce la surprise annoncée dans le flyer ???
A priori oui …C’est en effet aux abords du château de Chenonceau que le convoi s’amarre, non sans difficulté, pour un apéro surprise en ces lieux magnifiques. Un moment bien sympathique et revivifiant pour finir les 2 km du parcours en passant sous les majestueuses arches du château.
Arrivée sur le quai, surprise ! Encore ! Et oui alors qu’il manque du monde à l’appel, c’est Hélène qui nous a rejoins en voiture pour finir le week-end avec nous.
Quelques étirements et nous voilà remontés sur nos motos pour reprendre la route vers l’hôtel à 30 km de là.
Enfin presque tous, car Eric B. est tellement heureux de sa nouvelle acquisition qu’il préfère se coucher dans l’herbe avec elle.
Heureusement sans aucun mal ni pour lui ni pour elle ; et avant que Dominique ne le rejoigne sur la selle cette fois …Ouf !

Arrivée un peu tardive à l’Hôtel nous y retrouvons les retardataires du matin qui ont cette fois pris de l’avance pour profiter de la piscine et du Bar…
Perception des chambres, douche et rendez-vous est donné pour un court apéro afin de pouvoir retrouver notre salle de restauration pour y passer une bonne soirée de partage et de rigolade.
La journée fut longue et éreintante et la fatigue écourte un peu la seconde partie habituelle de la soirée, quelques uns se retrouvent néanmoins autour d’un verre afin de clôturer en joie cette première journée.
Mais qui voilà ?
Cricri, Pat et Val font également escale dans cet hôtel pendant leur road-trip, petits échanges amicaux et dodo pour tout le monde.

Réveil aux aurores pour un bon petit déjeuner, les traits sont tirés mais les sourires sont beaucoup plus détendus que les trapèzes et les deltoïdes…
Malheureusement thierry T. ne se sentant pas au mieux de sa forme, il préfère quitter le groupe pour rentrer directement.
Le reste de la troupe est prête, direction les Grottes Pétrifiantes de Savonnières-Villandry situées à une centaine de kilomètres de belles petites routes et de merveilleux point de vues.

Petit arrêt à Chinon non loin de la forteresse Royale, au bord de la Vienne, puis un arrêt forcé pour s’équiper car la pluie annoncée est « enfin » arrivée, devant le Château d’Ussé qui inspira le conte de la Belle aux Bois Dormant se trouvant cette fois au bord de l’Indre.


C’est finalement au bord du Cher un peu mouillées que nous allons découvrir les grottes pétrifiantes, non loin du château de Villandry.
Ces grottes exploitées à partir du moyen âge pour l’extraction du tuffeau, pierre que l’on retrouve sur les plus élégants châteaux de la Loire, ont ensuite été inondées laissant l’eau faire son travail d’érosion pour laisser apparaitre ses majestueuses draperies, stalactites et autres stalagmites.
C’est la densité importante en carbonate de calcium de l’eau, qui s’écoule constamment du sol surplombant ses grottes, qui permet la pétrification des objets y étant arrosés ou plongés.
Quel surprise d’y découvrir une collection d’animaux préhistoriques et encore plus d’accéder à une ancienne salle de restaurant dont seul le bar est resté ouvert et ou nous avons pu déguster un vin de pays.

A la sortie de ces grottes, deux bonnes nouvelles, il ne pleut plus et Thierry T. est arrivé a bon port (sous la flotte tout du long lui).
Il est temps pour nous de reprendre le chemin du retour et au détour de Tours de profiter d’une brève pause déjeuner.
Un retour autoroute qui ne fera pas mentir la météo, nous avons pris une bonne rincée aux abords de Rouen malmenant Gaby qui après une perte d’adhérence et de confiance a repris du poil de la bête pour rejoindre Muriel qui elle avait raté la station essence pour son Sports’…
Comme d’habitude, tout est rentré dans l’ordre et sans trop d’encombre finalement pour un gros week-end de retour.
Voilà un bon week-end de retrouvailles distanciées qui met la pèche pour les événements à venir.
Merci Eric G. pour cette belle organisation et à tous les participants pour leur bonne humeur.

Toutes les photos de Cristina photos
-
Entre le Vexin français et le Vexin normand dimanche 20 septembre 2020
Rendez-vous à 7H30 à la station de Chambourcy pour une belle journée qui s’annonce à travers les 2 Vexins .

Nous arrivons tous à l’heure plus ou moins bien réveillés pour certains… sur nos montures rutilantes, bien heureux de se retrouver ! Nous serons 23 motos et 33 participants et accueillons avec plaisir notre nouveau couple de bikers Pascale et Jean-Noël, ainsi que la participation de Lolo et Sylvère.
Après le débrief de Patrick qui sera notre road capitaine et Didier D notre activity officer, nous allons prendre le départ comme prévu à 8H00. Patrick nous rappelle les signes de sécurité et même certains gestes que l’on ne connaissait pas J !
Notre marshall sera Nicole, nos safetys : Sancho, Eric G, Patrice, Eric M, Vévé et La Miche et notre serre-file Stéphane.
Nous partons sous un ciel gris mais qui va se découvrir au fil des kilomètres et prenons la direction de l’Oise en passant par le Val-d’Oise, nous roulons sur de belles petites routes sinueuses à travers le parc régional du Vexin français. Puis direction l’Eure et le Vexin Normand, là nous prenons un grand bol d’air frais mélangé à des odeurs de bois mouillé en traversant la forêt.

Nous passons par Loconville, lieu du mariage de notre rocker national, avant d’arriver à Gisors où nous prendrons une bonne pause café-croissant au Jean Bart sur la place du marché. Nos motos sont admirées et nous suscitons de la bonne humeur !
Après cette pause sympathique, coup de sifflet de notre Président, c’est l’heure de remonter en selle !
Via Etrépagny, Les Andelys, nous longeons d’agréables bords de Seine direction Vernon puis bifurquons pour découvrir le magnifique moulin de Fourges dans son cadre bucolique .

Nous arrivons ainsi à Tourny pour notre déjeuner au « Lion d’Or », très bon accueil et repas copieux, nous profitons de ce moment convivial entre discussions et plaisanteries qui nous sont chères…
Fin du repas, et surprise ! On part faire un tour d’auto-tamponneuses…

Chacun s’installe donc seul ou en couple et c’est parti … Les autos se percutent à tout-va, on se défoule et on « s’éclate » entre cris et éclats de rire, merci Didier pour cette entracte qui nous a permis de retrouver la joie et l’insouciance de nos 15 ans !
Nous reprenons notre ride direction La Roche-Guyon, une fois arrivés nous nous garons et enlevons plusieurs couches de vêtements, il fait vraiment chaud.
Programme : temps libre avec ou sans visite du château.

Visite du château, ses salons avec des toiles représentant Rouen Dieppe et Le Havre à cette époque, des tapisseries, ses chapelles où les filles ont « prié » (pour la photo) ; Nous montons par un escalier taillé dans la pierre, toujours plus haut jusqu’au pigeonnier troglodyte qui domine la vallée de la Seine, vue magnifique. Ce pigeonnier comporte 1500 niches taillées dans la masse, dixit Didier : « les boîtes postales d’antan » !
Nous descendons ensuite vers les casemates, caves taillées dans la falaise, lieu de stockage durant la guerre en 1944, là, nous avons Lydie qui nous fait une petite crise de panique, elle cherchait le jour partout…mais elle a vaincu sa peur, bravo !
Nous terminons notre visite par les boves où se trouve la maquette d’une machine à remonter le temps avant de sortir par la Cour d’honneur, jolie visite.
Nous nous empressons d’aller se désaltérer, nous découvrons ensuite un convoi historique de l’armée américaine qui traverse la ville, restitution fidèle des véhicules et uniformes de la guerre 39-45, des passionnés, comme nous. Nous rencontrons également une connaissance du stage de sécurité, un gendarme de Pontoise qui est venu nous saluer et nous a permis de repartir en toute sécurité.

Dernière ligne droite en passant par la route des crêtes jusque la station d’Epône, notre dernier arrêt où les petits réservoirs vont ainsi faire leur plein et où nous allons nous séparer chaleureusement.
Merci à notre GO Didier qui a organisé cette belle journée réussie ainsi qu’à tous pour votre participation toujours dans la bonne humeur !
Le lien vers les photos de la miche : Photos
-
Raid Bulles XVII
Le chapter Reims Champagne Chapter a organisé du 21 au 23 août 2020 son 17ème interchapter , le fameux Raid Bulles

Un interchapter est un événement organisé par un chapter ouvert aux membres des autres chapters.

Participez à un interchapter c’est l’occasion de retrouver des anciens du Paris West Chapter


Retrouvez les photos de Thierry B. : photos
Retrouvez les photos du Reims Champagne Chapter : photos
-
Guédelon, samedi 11 juillet 2020
Rendez-vous à 6H30, comme d’accoutumée à la station de Chambourcy pour départ à 7H00 avec le plein. Nous arrivons « presque » tous à l’heure, petit briefing de notre road capitaine, Eric M vers 6h50, mais il nous manque 1 moto ! Nous attendons donc un peu plus, finalement Thierry B ne viendra pas, panne d’oreiller ?
Nous partirons donc à 17 motos et au final 27 participants. Nos fidèles safety’s seront Thierry Tixier, Eric Garnier, Thierry Sanchez, Hervé « chaton » et La Miche ; Serre-file Stéphane et Lolo ; et notre « marchal » Gilbert avec son trike passe-partout !

Nous prenons la route dans la fraîcheur du matin, seulement 11°, mais au fil des heures nous allons avoir une belle journée ensoleillée. Nous roulons vers le sud à travers de belles plaines agricoles avec une multitude de champs jaunes et dorés, de temps à autre de belles routes sinueuses passant par des sous-bois.
Après 2 heures de route, nous nous arrêtons pour le réconfort du matin, café, chocolat chaud et viennoiseries, dans un café à Angerville où l’accueil est bien sympathique.
Après s’être bien réchauffés, nous voici repartis direction Guédelon. Le trajet se passe sans encombres et nous profitons encore des paysages et charmants villages : Avant Pithiviers, nous longeons l’étroite voie ferrée d’un train touristique et croisons une locomotive, pittoresque, tout comme la ville que nous découvrons ; Quelques kilomètres plus loin, ce sera Rogny-les 7 écluses où nous traversons le canal de Briare, belle région la Bourgogne !
Nous arrivons vers 12H15 sur le site de Guédelon, nous sommes accueillis chaleureusement par Sam et Audrey qui étaient partis en voiture, aux aurores.Il fait chaud et nous enlevons des couches de vêtements…

Nous entrons sur le site où se dresse un magnifique château fort en construction, reproduction fidèle d’un château du 13ème siécle, entouré d’un immense parc où sont parsemés les ateliers de nombreux métiers d’antan. Mais avant de se régaler de cette visite, nous allons nous régaler d’un bon déjeuner ; Nous nous installons sous un préau où nous sont servis de copieux « plateaux-repas », partagés entres discussions et rigolades. Il est 14 heures, en route pour la découverte du site !
Nous arrivons aux abords d’une tour du château, là, nous découvrons un outil de levage pour hisser les charges lourdes, 2 grandes « cages à écureuils » dans lesquelles les ouvriers marchent pour faire tourner la roue et faire monter la charge. A savoir que chaque roue peut monter 500 kg. Nous nous arrêtons devant chaque échope où les artisans en tenues médiévales nous expliquent de façon précise les secrets de leurs métiers :- Le tailleur de pierres, qui taille toutes les pierres nécessaires à la construction en plusieurs tailles, 6, 7 et 8 pouces, à partir de grès ferrugineux pour les pierres noires et de grès blanc
- Le « gâcheur », qui réalise le mélange pour obtenir le mortier, savant dosage de chaux, sable aérien et eau, technique indestructible qui a permis aux châteaux de traverser des siècles et des siècles
- Le forgeron, qui élabore toutes les ferronneries de fixation et ornementales
- La teinturière, qui réalise ses teintures à partir de l’écorce, d’herbes ou de lychen
- Le peintre, qui extrait les pigments du sol de la région qui lui permet d’obtenir 15 nuances de couleurs différentes, seul le bleu est élaboré à base de chaux et charbon de bois. Les pigments sont appliqués avec un mélange d’oeuf et d’eau, ou du « yaourt », ce qui nous a fait bien sourire…
- Le cordier où nous nous arrêtons plus longtemps, convivial et intéressant, il va nous expliquer comment confectionner une corde à base de lin ou de chanvre. Il va faire réaliser à « Chipie » une corde de ses propres mains ! Gilbert viendra l’aider et là, nous avons passé un moment ludique et partagé une bonne partie de rigolades !

Nous étions séparés en plusieurs groupes, et nous nous retrouvons quelques-uns vers 15H30 au bar pour se désaltérer avant de se réunir tous à 16H00 aux motos. Le retour se fera avec 2 motos en moins, en effet, Eric-Cécile et Virgile-Sandra restent sur place.C’est donc Sancho qui sera notre Road capitaine pour la route du retour.

Nous rentrerons au plus rapide donc par l’autoroute, nous nous arrêterons à la station après le dernier péage avant de se quitter . Chacun partira de son côté au fur et à mesure du trajet.Merci à Eric M pour cette belle journée et vivement la prochaine sortie, tous ensemble !

Retrouvez toutes les photos ici
-
En passant par l’Eure – dimanche 28 juin 2020
Voici enfin, après de longues semaines sans sorties pour certains, une belle ballade qui s’annonce.
Rendez-vous 7H30 à la station de Chambourcy, nous arrivons tous pour partir à l’heure.
Après un petit « débriefing » d’Eric G notre « GO » et Eric M notre « road capitaine » nous démarrons bien à 8H00.
Nous avons notre « marchal » Gaël et nos « safety » seront : Patrick , Eric G, Hervé, Titi, Didier et la Miche, sans oublier notre serre-file Stéphane et comme toujours nos as du reportage, Christine et Jacques.
Nous partons ainsi pour se retrouver, comme vous pourrez le lire plus tard, à effectif complet soit une trentaine de motos et 47 participants, une belle tribu !
Direction la Normandie pour prendre un bon bol d’oxygène à travers champs et sous-bois. Le temps est nuageux mais il se maintiendra toute la journée avec de belles éclaircies.
Soudain, juste avant Jumeauville, le convoi s’arrête à la sortie d’un bois, Cri-Cri nous a fait une sortie de route, petite cascade dans les taillis, heureusement rien de grave ! Il nous faudra tout de même 4 à 5 paires de « gros bras » pour dégager sa moto des branchages. Après cette péripétie, nous voici repartis direction Jouy-sur-Eure, nous arrivons à 9H30 au « 3 étangs » où nous sommes accueillis sous une haie d’honneur par nos chers bikers normands qui rejoignent ainsi le groupe.
Nous sommes installés sur une grande terrasse surplombant un étang en dégustant boissons chaudes et de bonnes viennoiseries, le cadre est bucolique et l’ambiance chaleureuse.
Bien repus, il nous faut reprendre la route direction Pont-L’Evêque, nous profitons en roulant de la beauté de nos campagnes et des maisons à colombages.
Arrivée vers 12H30 au golf Saint-Julien pour déjeuner dans un cadre assez « classe », tables rondes et nappes blanches.
Nous prenons un très bon repas dans notre ambiance festive habituelle.
Il est 14H00, notre « Road capitaine » nous invite à reprendre la route, notre visite guidée à la distillerie du « château du Breuil » nous attend. Bien respectueux de la règle sanitaire, nous arrivons masqués et sommes dirigés par notre guide dans une première salle où se trouvent 2 énormes alambics.
Il nous explique tout le processus de la distillation en deux étapes avec des termes qui relèvent plutôt de l’anatomie…, au final on apprend que c’est le « cœur » qui vieillira en fûts pour obtenir le Calvados.
Nous poursuivons dans une seconde salle où repose et vieillit l’alcool dans des chais, il faut savoir que 2% d’alcool s’évapore, ceci est appelé » la part des Anges », un joli spectacle nommé ainsi nous sera projeté sur les tonneaux, joli spectacle visuel très coloré !
Pour finir, nous somme invités à la dégustation du Calvados et du Pommeau, beaucoup apprécient. A la sortie, nous trouvons un banc qui permet de se peser en nombre de pommes, et plusieurs tentent l’expérience :
Titi, 757 pommes ; Didier 875 ; Laurent 1004 Etc mais à ce jeu c’est Jacques qui bat le record !
Alors, combien de pommes faut-il pour faire un kilo ?Il est 16H00, il est temps de prendre le chemin du retour. Nous reprenons donc la route et après un arrêt à la station, nous rentrerons par une route plus directe en passant par Evreux. On s’arrêtera après le péage de Mantes avant de se séparer après cette belle journée bien remplie.
Merci à Eric G pour l’organisation et Eric M pour cette sortie qui nous a fait du bien, et bien sûr merci à tous pour votre participation pleine de bonne humeur !Retrouvez toutes les photos ici, et la vidéo :
[photonic type=’google’ view=’photos’ album_id=’AIdoqYhkuqZejziSVZviR6TvIGdDwsGlSrn2IvxwMn8mDUMcImC0ocAfv6QwBgj8ooY6st6cukpz’ media=’videos’ video_size=’m18′ crop_thumb=’no-crop’ main_size=’1280′ thumb_size=’546′ ]
-
Accueil des nouveaux du samedi 14 mars 2020
Cette journée « Chili » du 14 mars, une Première pour beaucoup !
- 1er run pour nos nouveaux amis de l’année 2020, Maria Isabelle, François, Gilles, Sylvain et Anthony,
- 1er test pour Patrice en qualité de Safety,
- 1er expérience de Road Captain pour Eric et de Marshall pour Nicole,
- 1ère animation en plein air à la concession du PWC avec un temps mitigé,
- 1ère avant confinement total,
Nous pourrions continuer ainsi longtemps ….
Pour tout dire, nous avions retenu pour cette balade, grâce aux « pouvoirs » de notre Directeur :
Ciel chargé, rayons de soleil, grains de pluie, chaussée humide, mais il n’avait pas pris l’option ‘betterave’…
Patrick PoussetTout y était pour accompagner l’intronisation de nos nouveaux compagnons du PWC, toujours dans la meilleure ambiance !
Après des préparatifs exécutés à la militaire mais dans la bonne humeur, nous nous sommes tous retrouvés pour le 1ER brief de sécurité et la présentation officielle du Chapter.
10h30, top départ sous la pluie pour un run de 70 km pour les 20 motos inscrites sur des routes diverses et variées dans notre contrée locale. Quelques kilomètres auront suffi pour que le road capitaine, entouré de son équipe de Safety (jeunes et moins jeunes) et de son nouveau Marshall, prennent leurs marques pour nous assurer de la jouissance d’une route sécurisée. Convoi toujours accompagné de nos photographes Christine et Jacques qui immortalisent l’évènement au bénéfice de souvenirs à partager ad vitam (merci les amis).
Le retour de nos ‘pétoires’ à la concession vers 13h, dans ce bruit que nous ‘kiffons’ tous, fut de courte durée, tellement le plateau de chili corn carne présenté était prometteur d’une ambiance aux décibels très concurrentiels… Un bon repas à l’américaine, agrémenté par la performance de nos amis musiciens qui savent, par leur traduction musicale de musiques Rock et Country, nous bercer de sensations uniques. Le tout, au milieu des copains, aura satisfait à la réalisation d’une séquence plaisir durant toute l’après-midi.

Le respect des règles étant l’une de nos valeurs, c’est avec distance et respect que coups de coude et chocs de cheville remplaçaient nos marques d’affections habituelles à l’heure des départs, en nous promettant de nous retrouver très vite, malgré les annonces de confinement lié au virus COVID 19.
Déjà touchés par le virus H-D, nous devrions être partiellement protégés… si si si !, le directeur l’a affirmé !
A très, très vite
Protégez-vous et portez-vous bien… !
Retrouvez toutes les photos ici et la vidéo ci-dessous
[photonic type=’google’ view=’photos’ album_id=’AIdoqYjgcnvInEHUrgybgoIlrNf9DJhVivxY9q80enQTrLh9KMqlACUtbeA2H2T1-lirxVpemVAP’ media=’videos’ video_size=’m18′ crop_thumb=’no-crop’ main_size=’1280′ thumb_size=’546′ ]
-
1er Run de l’année et Soirée Couscous
Enfin, le 1er Run de l’année organisé par le PWC et Sancho, notre road Captain du jour!
Quel bonheur de nous retrouver et de sortir nos belles mécaniques !!! Ça se voyait.Tous les ingrédients sont réunis : Chromes rutilants, temps clément, joie et bonne humeur.
Le retour de Dominique en forme est salué. Gilles et sa belle moto colorée nous rejoint pour sa 1ère sortie.
Le rdv est fixé à 14h à la concession pour un départ à 14h30 pétantes !

Après les consignes d’usage, le top départ est donné pour un road trip d’environ 1h30 dans notre belle campagne d’Ile de France.Ce bon bol d’air consommé, nous nous retrouvons à la concession dans les locaux du Chapter autour du verre de l’amitié. La journée n’est pas terminée.
C’est maintenant le soleil oriental qui nous attend autour d’une soirée Couscous brillamment organisée.

La chaleur des plats, couplée aux danses orientales et quelques alcools terminent d’égayer cette 1ère journée de sortie.
Son engouement nous permet déjà d’alimenter les prochaines…Alors, rendez-vous 14 mars prochain pour un nouveau Run et une animation mexicaine à la concession !
-
Grand Prix d’Amérique – 26 janvier 2020

Bonjour,
Je m’appelle Face Time Bourbon, né le 4 mars 2015, fils de Ready Cash comme mon demi-frère Bold Eagle qui a eu l’honneur de vous présenter le prix d’Amérique 2019 et de Vita Bourbon dont j’ai conservé le nom.
Je voulais tout d’abord vous remercier d’être partis aussi tôt, 6 heures 30 ce matin du 26 janvier, de Chambourcy, pour préparer ce grand évènement : les 100 ans du prix d’Amérique.
En effet, c’est en 1920 que la plus grande course de trot attelé (2700 mètres) a été créée pour honorer l’engagement des États-Unis dans la Première Guerre Mondiale.
Cette année, c’est donc une grande fête qui a accueilli près de 40.000 personnes venues admirer les 18 partants de la course, les 18 drivers accompagnés de 100 drivers juniors, de 100 porte-drapeaux venus des quatre coins du monde, ainsi que de 100 Harley-Davidson (chiffre officiel mais vous étiez près de 130 motos en réalité, toutes parées de drapeaux américains).
Pas de pluie au rendez-vous-même si le ciel n’était pas très bleu et vous avez pu faire vrombir vos HD au rythme des applaudissements lors de la parade.
Pascal était la moto taxi cette année et, coiffé de la casquette de mes propriétaires italiens, « Scuderia Bivans », il a eu l’avantage d’emmener mon driver suédois, Björn Goop, saluer mes fans.

Après l’Italie et la Suède, il faut savoir que mon éleveur, Rainer Engelke, est allemand de nationalité et normand de cœur et mon entraineur, Sébastien Guarato est français. Ils sont tous aux petits soins pour moi.
Je n’étais pas le favori de la course car je suis encore très jeune, je n’ai que 5 ans mais après l’arrivée, tout le monde a dit que j’étais le nouveau Bold Eagle qui a gagné deux prix d’Amérique, en 2016 et en 2017 et qui est le trotteur français le plus riche de l’histoire et le deuxième trotteur le plus riche de l’histoire des courses mondiales. Nous sommes entrainés tous les deux par Sébastien, en Normandie. Mes papas m’ont dit que j’avais fait une course extraordinaire avec une arrivée d’enfer, laissant mes voisins sur place. Je suis heureux de donner du bonheur à mes humains J
J’espère que vous aussi, Cristine, Nathalie, Brigitte, Christophe, les deux Jacques, Gilbert, Pascal et Thierry avez passé une bonne journée avec nous même si l’on m’a confié que l’organisation qui vous avait été réservée n’était pas optimale (pas de places suffisantes et correctes pour garer les motos) sans parler du déjeuner de midi qui était peu appétissant même pour des bikers pas difficiles … heureusement, le vin était bon.
Ne manquez pas de venir me voir une prochaine fois.
Je vous envoie un hennissement d’amitié.
Face Time Bourbon
Retrouvez toutes les photos ici










